Alternative au glyphosate, Osmobio guidé dans sa stratégie

cmantika

Avant d’en venir au sujet, c’est-à-dire à la stratégie de communication adoptée par Osmobio et guidée par l’agence Cmantika, tour d’horizon de 1999 à aujourd’hui sur l’histoire d’Osmobio, de ses produits et à l’alternative possible face à Monsanto.

Osmobio, une histoire Bretonne depuis 1999

Osmobio est implantée à Loudéac, une commune française située dans le département des Côtes-d’Armor en région Bretagne. Elle a été créée en 2000 par Jacques Le Verger, diplômé en biologie végétale et en agronomie, ce Loudéacien souhaite revenir aux fondamentaux du jardin. Le leitmotiv de M. Le Verger depuis 1999 : « rechercher et développer des solutions alternatives au tout chimique ». C’est ainsi, dans cet esprit que naît Osmobio et ce n’est que 5 ans plus tard que l’entreprise présente son tout premier produit.

 

Des partenaires locaux et nationaux

« Rome ne s’est pas faite en un jour » – Les produits Osmobio ont été développés avec beaucoup de recherche et de développement en collaboration avec différents partenaires reconnus. Des partenaires locaux tels que l’université de Bretagne Sud, le laboratoire de mycologie de l’université de Bretagne Occidentale puis des partenaires nationaux comme l’INERIS, l’INRA, le SRPV (le Service des Sciences et Techniques du Végétal de la Mairie de Paris), l’ESERCA à Toulouse et le centre de recherche zootechnique du groupe SANDERS.

 

Osmobio, des solutions naturelles et écologiques

Les différents partenariats et recherches menés ont permis l’élaboration d’une gamme (Algosavon) de détergent à base d’extraits biologiques d’algues brunes et d’actifs d’origine végétale. Plus précisément, il s’agit des algues brunes, aussi nommées Phaeophyceae ou Phéophycées, qui sont des algues qui utilisent comme pigment collecteur de lumière de la chlorophylle c combinée à un pigment brun, la fucoxanthine leur donnant donc cette couleur si reconnaissable. Ce sont les algues les plus abondantes des mers tempérées et froides, on en trouve notamment en Bretagne. Un choix assumé qui permet la valorisation des ressources territoriales marines et végétales.

 

La gamme AlgoSavon a donc été élaborée à base de biomolécules marines et du savoir faire traditionnel d’Osmobio. Ces biomolécules sont issues des algues de la réserve mondiale de biosphère de la Mer d’Iroise, qui bénéficient d’un label « Bio ». Un label qui entre dans les critères de la Directive cadre « Water Framework » 2000/60/CE.

 

En faisant appel aux vertus des algues marines et en sélectionnant par ailleurs des matières naturelles qui profitent aux plantes, Osmobio a élaboré une gamme de produits qui respectent les végétaux, l’environnement et au final l’Homme.

 

L’alternative au glyphosate ne s’est donc pas imposée dès le début, il était avant tout question de solution responsable.

 

C’est par la suite qu’une solution, se présentant comme une alternative aux produits phytosanitaires, plus précisément les herbicides, désherbants ou autre phytocides a été développée par l’entreprise Osmobio, retour sur plusieurs années de recherches et de développement.

 

L’alternative au glyphosate, de nombreuses années d’études

L’herbicide d’Osmobio testé et approuvé

La fin d’année 2017 aura été marquée par l’affaire du glyphosate dans une société résolument à la recherche d’une meilleure santé par une agriculture plus saine. Cependant, si l’herbicide d’Osmobio se présente aujourd’hui en 2017 comme une alternative, elle aura demandé plus d’un million d’euros de dépenses en R&D, des années d’épandage grandeur nature et une batterie de tests auprès de différents laboratoires indépendants. Une solution donc déjà prête à l’emploi depuis 2009 mais bloquée par l’ANSES et pourtant reconnue sans danger.

 

Un désherbant naturel reconnu sans danger et efficace

Aucun risque pour l’homme ni l’environnement, telle est la conclusion de l’Institut national de l’environnement industriel et des risques (l’INERIS) depuis 2012. Ce produit est testé par la Direction des routes de l’Ouest (Diro) et la Marine Nationale, puis, plus récemment par un sous traitant de la SNCF qui a mené aussi l’expérimentation :

Un brevet pourtant reconnu aux Etats-Unis, au Canada, au Brésil, en Russie et au Japon

C’est dans la patrie du glyphosate qu’il a été accepté en premier, les Etats-Unis. S’ils ont été les premiers à accepter l’alternative Bretonne, d’autres pays pourtant loin d’être des exemples en matière d’utilisation de produits écologiques ont également rapidement emboîté le pas. Une situation que ne peut que déplorer Jacques Le Verger face à la France qui a aussi accepté le brevet mais qui a été la plus lente à l’examiner et à l’accepter pour un produit « made in BZH ».

 

L’alternative Osmobio propulsée par l’affaire du glyphosate

Un  mal pour un bien, il aura fallu un vote du conseil européen reconduit sur la question du renouvellement ou pas du glyphosate pour mettre en lumière l’aternative Osmobio. C’est ainsi que petit à petit le désherbant d’Osmobio a su se faire une place dans les médias.

Mise à jour du 27/11/2017 : Après deux années de négociations, les Etats membres de l’UE ont voté en faveur d’une nouvelle autorisation pour 5 ans malgré l’opposition de la France. Un article du Le Monde à retrouver ici.

 

Une communication décuplée par une présence sur le web

Si Osmobio n’avait pas été présent sur le web et les réseaux sociaux, la donne aurait été tout autre. En effet, proposer des produits différenciant ou à forte valeur ajoutée n’a aucun intérêt si vous n’avez pas la possibilité de communiquer dessus ! Par conséquent dans l’ère du 21ème siècle, être présent sur le web constitue aujourd’hui un facteur de visibilité non négligeable et se révèle être un excellent outil de communication. L’American City Business Journals l’affirme, les PME utilisant Internet ont prospéré 46% plus vite que les autres.

 

La stratégie choisie, pas de parti pris

La présence donc d’Osmobio grâce à un site e-boutique et sur Facebook a permis de relayer l’information (articles, vidéos, interviews, …) sur les réseaux sociaux ainsi que sur le blog du site web. C’est donc la stratégie adoptée par Osmobio, relayer l’information, bien que le désherbant naturel ait été démontré comme inoffensif pour la nature et l’homme par différents laboratoires indépendants, seules les agences gouvernementales font foi et autorité en matière d’autorisation et de labellisation, pas de parti pris donc en tant qu’agence.

 

Cmantika, l’agence chargée de la communication d’Osmobio

Un accompagnement de tous les instants

Si le combat de Jacques Le Verger est bien réel, le virtuel, comprendre les médias, les réseaux sociaux ou encore une présence sur le web est tout aussi important et a renforcé la notoriété et le combat pour la mise sur le marché du désherbant naturel.

Chez Cmantika notre culture d’entreprise nous pousse à accompagner nos clients tout au long de la vie de leur projet. Ainsi nous avons guidé notre client Osmobio sur la stratégie à adopter sur les réseaux sociaux et comment relayer les informations les concernant. C’est ainsi que Jacques Le Verger a multiplié les interviews auprès de France 3, M6, Cnews, le Télégramme, le Parisien ou encore Ouest France, vous pouvez d’ailleurs retrouver toutes les interviews qui lui sont dédiées.

Par conséquent, un accompagnement qui a permis de booster le trafic sur leur site web et d’augmenter de façon considérable leur présence et la portée des publications sur les réseaux sociaux.

Nous espérons ainsi que par notre action, notre client Osmobio puisse obtenir l’agrémentation nécessaire pour mettre son désherbant naturel sur le marché d’ici les prochaines années.

Si vous aussi vous souhaitez être accompagné dans votre stratégie digitale ? Votre projet de site web ? N’hésitez pas à nous contacter.

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